Au Fouta, au mois de Mars, les brumes de chaleur sont assez fréquentes et les paysages donc souvent voilés.
Pas facile dans ces conditions de rendre compte de la beauté de ces grands espaces.
Mais le Fouta reste le Fouta, même derrière un voile de pudeur. Sa force, sa générosité, sa grandeur restent intactes !
Merci à Oly G pour le partage de ces quelques clichés pris entre Doucky et Kambadaga, au terme d'un séjour pleins d'imprévus et contretemps mais aussi riches de magnifiques instantanés et souvenirs.